Demander conseil au médecin
Somnifères, calmants, antalgiques, antihistaminiques : divers médicaments, même vendus sans ordonnance, altèrent la capacité de conduire. Prendre le volant alors que ses facultés sont diminuées par l’absorption de médicaments est une infraction dont la sanction peut aller jusqu’au retrait de permis et à une peine privative de liberté de 3 ans.
En cas d’accident, la responsabilité civile est engagée avec même un risque de défaut de couverture d’assurance. Et l’ignorance des effets secondaires n’excuse pas l’infraction : la négligence est également punissable. Demandez donc conseil au médecin ou au pharmacien, et lisez la notice d’emballage.